- L'absence de politiques relatives aux fake news et à la cyberintimidation est fréquente, ce qui peut influencer les électeurs et les candidats.
- Les partis politiques ont fait campagne dans les bureaux de vote, créant un environnement susceptible d'intimider les électeurs et de provoquer des tensions.
- Dans les zones urbaines, de nombreux les électeurs sont arrivés en fin de journée. La CEI a géré cette situation en permettant à ceux qui faisaient la queue après les heures officielles de voter, certains bureaux de vote restant ouverts jusqu'à la nuit.
- Le manque d'électricité, de connectivité et de matériel de base, comme l'encre et les bulletins de vote, a également eu un impact sur le fonctionnement des bureaux de vote, retardant l'ouverture des bureaux et ralentissant les opérations de vote.
- La section 24A, qui concerne le vote dans les bureaux de vote non inscrits. Le formulaire de demande d'inscription a été appliqué de manière incohérente. Certains bureaux de vote ont permis aux électeurs de remplir le formulaire requis, tandis que d'autres les ont redirigés vers leur bureau d'inscription.
- Les observateurs ont parfois été pris pour des agents du parti. Les fonctionnaires leur ont demandé de fournir l'annexe 4. Cette situation a entraîné une certaine confusion dans plusieurs provinces.